mardi 12 juillet 2011

Johannes Cabal de Jonathan L. Howard (Eclipse)

Nouveau roman à paraitre le 12 juillet aux éditions Éclipse, il sera traduit par Jérôme Vessière.

Johannes Cabal, scientifique brillant et snob notoire, est habité corps et âme par une lubie : réanimer les morts. enfin, pour ce qui est de son âme, ça reste à voir… car il l’a vendue un peu trop vite, il y a des années, afin d’apprendre les mystères de la nécromancie. aujourd’hui tourmenté par un noir secret, il voyage jusqu’aux fosses embrasées de l’enfer pour la récupérer. Satan, qui s’ennuie à mourir, lui propose alors un petit défi : Johannes a un an pour convaincre cent personnes de lui vendre son âme, sans quoi il sera à jamais damné. pour rendre les choses un peu plus intéressantes, Satan lui met dans les pattes un « cirque itinérant », une diabolique machine de duplicité, de séduction et de corruption, pour assister cette entreprise maléfique. Johannes a autant de morale que l’anthrax, mais ses tours inavouables lui suffiront-ils pour battre le diable à son propre jeu ?

Jonathan L. Howard est auteur de jeux et scénariste. il travaille pour l’industrie des jeux vidéo depuis le début des années 90, et a notamment co-scénarisé les trois premiers jeux d’aventure des Chevaliers de Baphomet. Johannes Cabal le Nécromancien est son premier roman.
Il vit en Angleterre, près de bristol, aux côtés de son épouse et de sa fille.
Le site de l'auteur (en anglais) : http://jonathanlhoward.livejournal.com

« Johannes Cabal a beau ne pas avoir d’âme, il n’en est pas moins effronté, résolument tordant et joyeusement irrévérencieux. Une farce diabolique. »
— Elle Newmark, The Book of Unholy Mischief

« Jonathan Howard détourne les conventions traditionnelles des récits faustiens pour en faire une fresque moderne à la fois piquante, macabre et étonnamment touchante. »
— Keith Donohue, auteur de The Stolen Child

« Une oeuvre réussie pour un auteur de talent. »
— Denver Post

« Howard transforme avec facilité un nécromant meurtrier et voleur en un personnage sympathique ; et cela mesdames et messieurs, vaut tout l’or du monde ! »
— San Diego Tribune


Frédéric Fontès

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