dimanche 17 octobre 2010

Le Signal de Ron Carlson (Gallmeister)

 À paraitre le 05 janvier 2011 aux éditions Gallmeister.

Pour la dernière fois, Mack et sa femme Vonnie partent camper dans les montagnes du Wyoming afin de se dire adieu. Enlisé dans les dettes, l'alcool et les trafics, Mack a peu à peu contraint Vonnie a renoncer à l'amour profond qui l'avait attirée vers l'Ouest, et la jeune femme a refait sa vie. Cette randonnée est un moment de complicité retrouvée, une ultime occasion de se révéler l'un à l'autre. Pour Mack, cette expédition est aussi la dernière mission qu'il exécute pour le compte d'un intermédiaire douteux afin de sauver son ranch de la faillite. Au cœur des vastes étendues sauvages, guidé par un faible signal GPS, il doit retrouver une mystérieuse balise égarée lors d'un survol de la région. Mais cette mission se révèlera bien plus périlleuse que prévu.
     Le Signal est un roman magistral combinant le destin d'un amour qui s'achève à un suspense qui nous mène au paroxysme de l'angoisse. Ce livre palpitant, doublé d'une magnifique description du Wyoming, est un texte puissant qui se lit d'une traite.
Traduit de l'américain par Sophie Aslanides
RON CARLSON est né en 1947, en Utah. Il est l'auteur de plusieurs recueils de nouvelles et de quatre romans qui ont reçu de nombreuses distinctions aux États-Unis. Il enseigne la littérature à l'Université de Californie, à Irvine, et vit à Huntington Beach. Le Signal, publié en 2009 aux États-Unis est son dernier roman.

Comme Rick Bass et Jim Harrison, Carlson parle du monde naturel avec une autorité convaincante.  Le Signal nous entraîne sur un territoire terrible et stupéfiant. En faisant cela, il devient tout à la fois une élégie à un mariage brisé et un roman au suspense à couper le souffle.
THE NEW YORK TIMES BOOK REVIEW
Ron Carlson cérit comme Hemingway, la mysogynie et l'autoparodie en moins.
THE WASHINGTON POST
Une histoire d'amour douce-amère et une aventure palpitante... Carlson évoque le rude réconfort de la nature avec grâce et simplicité. Sa prose sans artifice rappelle celle de Cormac McCarthy.
MIAMI HERALD
Frédéric Fontès


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